C'est curieux, je n'arrive plus à me rappeler qui a bien pu prononcer cette phrase, un candidat à la présidentielle de 2007, peut être, à moins que je ne l'ai entendue, en fonds sonore, entre une pub pour les tampons trucs qui absorbent mieux ou la bôite pour le chat, que la bestiole elle grimpe au plafond rien qu'en la regardant.
Ces slogans politiques, c'est de l'accrocheur, du mémorisable illico, entêtant comme un jingle, hop, votons comme on achète une promo en tête de gondole, sur une impulsion...
Rien de plus normal, les pubards ne craignent plus de faire honte à leur môman, ils sont bronzés, décomplexés, liftés , reliftés et rolexés et font maintenant -célébrité et reconnaissance acquises depuis les 80's de la Force Tranquille- dans le politique. Ils recyclent leurs méthodes, et ça marche.
Mais, sorti du spot publicitaire, le baril de président - surnommé cadeau bonus par les banques- prouve qu'il n'est que de la vulgaire camelote, de la poudre aux yeux...
Le président du pouvoir d'achat est, en fait, le président du recul historique de l'augmentation des salaires.
Et là, Maurice, tu pousses le bouchon un peu trop loin